Coquine et coquin de nous

coquinsles, ma chérie, c'est sans étonnement que j'ai découvert que ta petite chatte était toute lisse. Ce florilège de petites culottes me replonge dans mes jeunes années. A cette époque elles dissimulaient presque tout le temps un sexe recouvert d'une toison tantôt éparse, tantôt abondante.
J'avoue que ce n'était pas très pratique de se frayer un passage au milieu d'un feuillage luxuriant, mais une pilosité, fut elle éparse, préservait le mystère qui entoure la découverte de notre sexe, idéalement par une autre femme.
Il fallait des doigts délicats pour dégager un feuillage qui dissimulait une entaille comme un trait qu'on aurait tracé avec un crayon.
Un triangle dont chaque brin humide comme l'herbe d'un pré après la rosée du matin qui s'étend depuis le mont de Vénus jusqu'à la jonction des cuisses délivre un parfum délicatement iodé.
Derrière cette végétation, deux épais replis charnus, tels de lourdes portes protégaient l'accès à un sanctuaire dédié au plaisir.
Ta vulve si parfaitement lisse à certainement d'autres atouts avec peut être de longues nymphes semblables aux ailes d'un papillon prêt à s'envoler.
Comme deux poignées qu'on pincerait entre le pouce et l'index en tirant dessus pour en mesurer l'élasticiter, elles nous invitent presque naturellement à les ramener plus haut vers le pubis afin qu'elle découvrent le gland de ton clitoris, trop timidement blotti sous son capuchon.
En écrivant ces lignes, transportée par mon récit, je ressens, comme une petite fille qui n'aurait su contenir une envie de satisfaire un besoin naturel, une moiteur coupable envahir mon enveloppante culotte en coton qui finit par être inondée de plaisir.
Nathalie qui doit s'interrompre pour changer sa culotte qui commence à ce tâpisser de sécrétions coupables.Au plaisir de te lireNathalie.